Jeanne Collonge, troisième de l'embrunman, au départ de Gerardmer !

Jeanne Collonge, troisième de l'embrunman, au départ de Gerardmer !

09 Septembre 2022

 



Troisième de l'Embrunman

Victorieuse en 2012 et 2013, près de 10 ans plus tard, Jeanne avait à coeur de renouer avec cette mythique course de l’Embrunman. 

L’Embrunman est l’un des XXL les plus difficiles : 3,8 km de natation, 188 km de vélo comptant près de 4000 mètres de dénivelé positif suivi d’un marathon valloné. 

Embrun c'est une course particulière pour moi puisque c'est ici que tout a commencé, là où j'ai lancé ma carrière.
Jeanne Collonge
Triathlète profesionnelle

Au terme d’une course serrée, Jeanne termine 3e de l’Embrunman en 10h59’29

Jeanne nous raconte sa course

"La natation de nuit s'est vraiment bien passé pour moi, heureusement je connaissais le parcours car la seule petite lumière du canoë qui nous guide ne suit que les premières ! 

Je suis sortie à 2'30 du groupe de tête, en 4e position après avoir fait la totalité du parcours seule. Dès le début du vélo j'ai senti que j'avais de bonnes jambes, j'étais vraiment content de mon choix de vélo : le Shaka." 

Vraiment contente de mon choix de vélo ! Le shaka se prêtait vraiment bien malgrés ce parcours très montagneux ! 

J’ai vraiment eu une bonne gestion, je n’ai jamais été en sur régime, et me suis sentie comme je ne m’étais pas sentie depuis longtemps dans toutes les parties montantes. Je me suis assez vite retrouvée en 2e position à la poursuite de Barbara Riveros, un duel sans relance jusqu’à la pose du vélo. 

J’arrive au parc à vélo avec 5’ de retard sur la meneuse et 12’ devant la troisième. Je suis partie très prudemment sur le marathon, avec de bonnes sensations qui m’ont laissée penser que j’avais bien géré le vélo. L’allure a tenu sur 32km, puis j’ai dû faire face au fameux « mur du marathon ». Tout est devenu plus dur : avancer, parler, manger, boire… je m’arrêtais de plus en plus longtemps aux ravitaillements…Je me suis battue jusqu’au bout sans pouvoir lutter contre le retour de Justine qui m’a doublée 1km avant l’arrivée. Tout de même tellement heureuse du résultat !  

Il y a 2 mois je n’étais même pas sûre de pouvoir faire une saison à cause d’une blessure et je me retrouve avec l’un de mes meilleurs temps natation et vélo ici à Embrun ! 

Cette course reste une de mes favorites, le soutien du public est hors-norme, et nous porte tellement en tant qu’athlète ! J’avais à coeur de bien faire…pour mes proches, mes partenaires et c’est chose faite !

J’ai vraiment eu une bonne gestion, je n’ai jamais été en sur régime, et me suis sentie comme je ne m’étais pas sentie depuis longtemps dans toutes les parties montantes. Je me suis assez vite retrouvée en 2e position à la poursuite de Barbara Riveros, un duel sans relance jusqu’à la pose du vélo. 

J’arrive au parc à vélo avec 5’ de retard sur la meneuse et 12’ devant la troisième. Je suis partie très prudemment sur le marathon, avec de bonnes sensations qui m’ont laissée penser que j’avais bien géré le vélo. L’allure a tenu sur 32km, puis j’ai dû faire face au fameux « mur du marathon ». Tout est devenu plus dur : avancer, parler, manger, boire… je m’arrêtais de plus en plus longtemps aux ravitaillements…Je me suis battue jusqu’au bout sans pouvoir lutter contre le retour de Justine qui m’a doublée 1km avant l’arrivée. Tout de même tellement heureuse du résultat !  

Il y a 2 mois je n’étais même pas sûre de pouvoir faire une saison à cause d’une blessure et je me retrouve avec l’un de mes meilleurs temps natation et vélo ici à Embrun ! 

Cette course reste une de mes favorites, le soutien du public est hors-norme, et nous porte tellement en tant qu’athlète ! J’avais à coeur de bien faire…pour mes proches, mes partenaires et c’est chose faite !

J’ai vraiment eu une bonne gestion, je n’ai jamais été en sur régime, et me suis sentie comme je ne m’étais pas sentie depuis longtemps dans toutes les parties montantes. Je me suis assez vite retrouvée en 2e position à la poursuite de Barbara Riveros, un duel sans relance jusqu’à la pose du vélo. 

J’arrive au parc à vélo avec 5’ de retard sur la meneuse et 12’ devant la troisième. Je suis partie très prudemment sur le marathon, avec de bonnes sensations qui m’ont laissée penser que j’avais bien géré le vélo. L’allure a tenu sur 32km, puis j’ai dû faire face au fameux « mur du marathon ». Tout est devenu plus dur : avancer, parler, manger, boire… je m’arrêtais de plus en plus longtemps aux ravitaillements…Je me suis battue jusqu’au bout sans pouvoir lutter contre le retour de Justine qui m’a doublée 1km avant l’arrivée. Tout de même tellement heureuse du résultat !  

Il y a 2 mois je n’étais même pas sûre de pouvoir faire une saison à cause d’une blessure et je me retrouve avec l’un de mes meilleurs temps natation et vélo ici à Embrun ! 

Cette course reste une de mes favorites, le soutien du public est hors-norme, et nous porte tellement en tant qu’athlète ! J’avais à coeur de bien faire…pour mes proches, mes partenaires et c’est chose faite !

Jeanne au départ du XL de Gerardmer

Trois semaines se sont écoulées depuis l'Embrunman et Jeanne sera au départ ce samedi du triathlon XL de Gerardmer. Course qu'elle avait déjà remporté en 2016

La course s'annonce plus qu'animé avec une strat list bien fournie !

Rendez-vous samedi 9h30 pour le lancement des hostilités ! 

 

En lire plus

Tom Lecomte, un athlète au parcous hors norme
Steven Le Hyaric traverse le désert de Gobi sur le GIRS Nomade.

Laisser un commentaire

Ce site est protégé par reCAPTCHA, et la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation de Google s'appliquent.